Nous n'avons pas provisionné pour un risque juridique parce que nous nous sommes battus contre le risque financier. Lorsqu'il a été envisagé que nous rachetions DexMA, le risque, pour nous, était double. Le premier était d'acheter à une valeur supérieure à la valeur de marché. Sans les dispositifs de garantie votés par le Parlement, le jour où nous avons acheté DexMA, nos commissaires aux comptes nous auraient demandé d'enregistrer une perte de 5 milliards d'euros dans notre compte de résultats, soit 25 % de nos capitaux propres.