Pour ma part, je me félicite de ce qu'une grande partie de notre territoire (approximativement 90 %) ne soit pas concernée par les dépassements de valeur-limite. Ce constat devrait encourager nos concitoyens à réfléchir à l'avenir sans s'effrayer du présent.
La carte provisoire des zones dites « sensibles » n'est, ni plus ni moins, que celle de nos bassins industriels : y figurent ainsi le nord de la Franche-Comté, où est implantée l'industrie automobile, et l'Oise, où l'industrie chimique est importante. Cette carte n'aurait-elle été établie qu'en fonction des sources potentielles de pollution ?