Vous ne nous avez pas dit beaucoup de bien des swaps. Sont-ils condamnables en soi ?
Je me souviens que le conseil général de la Haute-Loire a décliné l'offre d'une banque, Indosuez, qui proposait ce type de produits à la fin des années 1980. Or, des banques ont affirmé qu'elles n'avaient jamais offert de swaps ni de snowballs à leurs clients. Qu'en pensez-vous ?
Troisième question, les produits « capés » constituent-ils une solution ?
Quant à ces formules de douze lignes qui ressemblent à du grec ou à du chinois, considérez-vous que les collectivités locales sont en mesure de les comprendre ?