Si je ne suis pas interrompu, je vais pouvoir conclure.
Monsieur le ministre, monsieur Lequiller, vos conceptions et les nôtres s'opposent : c'est toute la noblesse du débat politique.
Chacun doit être convaincu que nous ne sommes pas au bout de la crise, parce que vous n'avez proposé aucune solution de fond. Nous sommes au début, si nous n'y prenons garde, d'un processus dangereux et inquiétant qui peut conduire au délitement de l'Europe. (Applaudissements sur les bancs du groupe GDR.)