En effet, avec un taux de marge de 29 % pour les entreprises non financières, elles sont à un niveau historiquement bas.
S'agissant des prélèvements obligatoires, Mme Pécresse avait répondu à Michel Bouvard que l'élasticité de la recette était très importante et qu'un point de croissance en moins représentait un peu moins de 10 milliards d'euros de perte de recettes – soit 7 milliards pour 0,7 point.