D'une façon générale, nous avons noué des partenariats étroits avec les établissements publics en charge des politiques de santé. Nous avons ainsi passé des conventions avec l'Institut de veille sanitaire, l'Institut national du cancer ou l'Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail, et nous sommes en train d'élaborer la convention qui doit formaliser les multiples partenariats qui nous lient à l'Institut national de prévention et d'éducation pour la santé. Nous avons ainsi présenté à celui-ci nos outils en matière de campagnes de dépistage.
Je vous citerai un autre exemple : l'Institut national de prévention et d'éducation pour la santé constitue la « force de frappe » d'un comité de pilotage chargé de réfléchir aux actions de soins ou de prévention, dans le domaine du « bien vieillir » et de la prévention contre les effets du vieillissement, que nous avons mis en place avec la Caisse nationale d'assurance vieillesse des travailleurs salariés, le Régime social des indépendants, l'Association générale des institutions de retraite complémentaire des cadres et l'Association pour le régime de retraite complémentaire des salariés.
Du fait de notre fonctionnement en guichet unique, nous sommes amenés, dans la gestion de la couverture vieillesse, à déployer des actions de prévention qui relèvent plutôt de l'action sociale dans d'autres régimes. Nous avons, par exemple, mis en place « le pack » Eurêka, qui sont des ateliers collectifs destinés à entretenir les mécanismes de la mémoire chez les personnes âgées. Ce type d'action est financé par notre fonds national de prévention.