Nous avons 2 milliards d'euros d'encours environ, essentiellement sous forme de contrats d'échange de taux. Sur 160 contrats, une dizaine est aujourd'hui problématique, mais je ne préjuge pas de la suite. Sur le notionnel, 75 % sont classés dans la Charte Gissler. Sur les 25 % qui restent, 16 % portent sur des contrats de change. Ce sont eux surtout qui ont le plus mal évolué.
Nous sommes en contentieux avec deux collectivités locales, mais, contrairement à ce qui a été dit, nous sommes toujours disposés au dialogue. Nous n'avons jamais refusé le dialogue avec l'un quelconque client mais nous considérons que celui qui décide de nous assigner choisit de le rompre.
Monsieur Gagnaire, vous nous reprochez de gagner de l'argent quand nos clients en perdent.