Je reste d'autant plus défavorable à l'amendement qu'il ne permettra pas de résoudre le cas de figure présenté par M. Joyandet, tout simplement parce qu'il limite la valeur totale des actions pouvant être rachetées à 10 % du capital.
De plus les liquidités consacrées au rachat de ces actions ne seront pas investies. C'est une procédure non pas de développement mais de rétraction de l'entreprise.