La règle de base, pour paraphraser M. Klein, est de vendre des produits que l'on comprend. Par ailleurs, on ne vend pas de produits dérivés à un client qui ne peut assumer les risques sous-jacents. Si une collectivité frontalière avait des revenus en francs suisses, il serait de bonne gestion pour elle de s'endetter en partie dans cette devise ; mais, sauf exception, ce n'est pas le cas.