Je ne puis vous répondre, car je n'étais pas en fonction à l'époque. Cependant je n'ai pas l'impression qu'il s'agisse du point essentiel.
Beaucoup de collectivités locales s'étaient endettées à des taux fixes très élevés, si bien que les indemnités de remboursement anticipé étaient elles-mêmes très élevées ; or, entre 2004 et 2008, la tendance était à la baisse des taux : l'un des moyens d'en profiter sans payer d'indemnités de remboursement anticipé était de souscrire des prêts structurés, lesquels réintégraient une partie de ces indemnités dans la base de financement.