Aujourd'hui il y a une crise, j'espère que vous l'avez constaté, et chacun a à coeur de faire en sorte que la dette à laquelle nous devons faire face ne pèse pas sur nos enfants.
Nous sommes obligés, avec parcimonie et mesure, d'essayer de parvenir à un équilibre : cela s'appelle un budget.
Monsieur Préel, je pensais vous avoir convaincu. Je vous demande de bien vouloir retirer votre sous-amendement, sinon j'émettrai un avis défavorable.