En tant que président de la commission des Affaires sociales, je dois dire que nous passons en commission un temps considérable à examiner un nombre croissant de propositions de loi, qui n'aboutissent pas, et ce au détriment du travail d'évaluation qui devrait être le nôtre et pour lequel, hélas, nous ne disposons plus du temps nécessaire.
Pour ce qui est de la stratification, il y a quelques cas « limites », comme ceux cités par M. Pupponi. Elle présente toutefois l'intérêt de pousser de petites structures cantonales, aujourd'hui les plus pénalisées, à s'associer. Après avoir hésité sur le sujet, je suis désormais convaincu que la stratification est nécessaire, même s'il faut veiller à ce que tous les crédits publics n'aillent pas vers les grandes métropoles. Il est incontestable que les villes centres ont des devoirs plus importants, et cela justifie la stratification.