Le sujet est essentiel. Je rappelle qu'un amendement à la loi Aubry sur les trente-cinq heures demandait déjà aux partenaires sociaux de prendre en compte l'articulation entre vie professionnelle et vie familiale dans les négociations. Cet aspect a souvent été oublié ; si cela n'avait pas été le cas, nous n'en serions pas là dix ans après.