Monsieur le président, monsieur le ministre, mes chers collègues, je n'avais pas grand-chose à dire, parce que je suis d'accord sur tout. J'espère qu'une solution sera trouvée aux préoccupations de M. Brottes. Sinon, pour ce qui est des lofts, je ne les trouve pas personnellement très confortables. Mais ce n'est pas le problème.
En fait, je voulais surtout dire combien j'apprécie M. le ministre. J'ai bien le droit de le dire, car nous nous sommes suffisamment combattus par le passé, et cela fait longtemps que je n'ai pas dit du bien d'un membre du Gouvernement. Je tenais donc à dire que j'apprécie le travail qu'il réalise en ce qui concerne l'artisanat et le commerce, et même le FISAC, parce qu'il trouve pas mal d'enveloppes. Il en manquerait sans doute encore un peu, mais enfin, nous verrons…