Monsieur Lefebvre, quelle est la définition que vous donnez du mot affaires ?
Il règne de nos jours une sorte d'addiction à la marchandisation ; le mot affaires fait écho à cet univers brillant. D'autres aspects sont pourtant essentiels : de nombreuses villes, y compris en milieu rural, accueillent des congrès qui peuvent avoir une dimension syndicale, politique, artistique, intellectuelle… Pourquoi vouloir systématiquement tout ramener aux affaires ? Il existe d'autres dimensions du lien social, du rassemblement et du partage.