Nous sommes tous d'accord pour dire que les séjours à l'étranger sont nécessaires à la formation citoyenne des jeunes, sans parler des enjeux économiques.
Malgré la gravité de certains événements, légiférer sous le coup de l'émotion serait une erreur. Nous ne pouvons donc que regretter la précipitation dans laquelle ce texte est examiné. Nous aurions aimé avoir plus de temps pour travailler ; aussi demandons-nous au rapporteur de remettre les choses à plat, pour associer l'ensemble des acteurs et élargir la réflexion. Cela me semble d'autant plus nécessaire que nous sommes unanimes pour constater qu'il existe un vide juridique, lequel doit être comblé.