Je suis favorable à une telle coopération qui pourrait également se faire au plan national avec d'autres ministères.
L'usage militaire de cet hôpital est minoritaire, comme dans la plupart de nos hôpitaux d'instruction des armées (HIA) en métropole. La situation est cependant différente : lorsque les hôpitaux métropolitains accueillent des civils, ils sont rémunérés, alors que ce n'est pas le cas à Djibouti.
Je cherche donc à trouver d'autres partenaires, de sorte que le budget puisse être soutenu par d'autres pays européens, dans le cadre de l'opération Atalante, par d'autres ministères au titre de la coopération, ainsi que par Djibouti. L'entretien de la structure existante coûte beaucoup moins cher que la création d'une nouvelle après la dispersion des équipes, Djibouti a donc tout intérêt à ce que nous maintenions cet hôpital.