Soit, mais ce qui compte, c'est de pouvoir diversifier les moyens. Je connais certains lycées parisiens dans lesquels les parents seraient prêts à inscrire leur enfant dans une classe où il serait le quarantième élève, et d'autres où 22 élèves par classe, c'est beaucoup. C'est pourquoi nous voulons différencier notre politique éducative.
Par ailleurs, alors que vous connaissez l'état des finances publiques, vous critiquez sans cesse le non-remplacement d'un fonctionnaire sur deux partant à la retraite…