Il s'agit tout simplement à s'adapter aux règles du marché, la commercialisation des publications auprès des libraires s'effectuant selon des modalités nouvelles. Cette forme de commercialisation suppose des personnes ayant des compétences spécifiques, à même d'offrir aux libraires tous les moyens leur permettant de vendre ces documents.
Pour réussir cette opération, la DILA doit gagner l'argent nécessaire à son fonctionnement et équilibrer son budget : son personnel ne peut y voir qu'un avantage puisqu'il est prévu que ceux qui pourraient être éventuellement touchés par cette opération auront une nouvelle affectation et ne connaîtront pas de baisse de rémunération. La situation des personnels s'en trouvera donc confortée.
Nous avons tous intérêt à ce que l'opération se déroule bien. Notre premier souci, au Premier ministre, à moi-même et aux dirigeants de cette administration, est de faire en sorte que les agents ne subissent aucune conséquence négative – ni dans leur rémunération, ni dans leur vie sociale – et se trouvent confortés dans une nouvelle forme d'organisation adaptée au marché, leur permettant de continuer à exercer leur métier.