Madame le ministre, je vous remercie des propos élogieux que je ne manquerai pas de transmettre aux personnels. Le SSA jouit en effet d'une excellente réputation internationale. Les Britanniques regrettent beaucoup leur choix d'externalisation et les Allemands sont également en situation délicate.
La place du SSA est d'ailleurs consacrée par la prochaine nomination de son directeur central au poste de président du comité des directeurs de santé de l'OTAN.
M. Mothron, je vous confirme que l'équipe médicale du Val de Grâce a accepté de prendre en charge le malade dont vous avez parlé. Cette décision est intervenue après s'être assuré qu'il pourrait être accueilli dans des conditions satisfaisantes pour sa propre sécurité et pour celle des autres patients. Après deux mois d'hospitalisation il se trouve en effet dans un état grave mais j'espère que les soins que nous lui apporterons amélioreront rapidement sa situation.
Je précise qu'il est couvert par un régime de sécurité sociale et que sa prise en charge ne sera donc pas à la charge du SSA.