Vous avez rappelé qu'un hôpital d'instruction des armées n'est pas un établissement public de santé ordinaire. Pourtant, les HIA s'impliquent dans l'offre de soins, notamment lorsque les structures civiles n'y arrivent pas. La presse a ainsi annoncé qu'un ressortissant français se trouvant en situation délicate au Portugal ne parvenait pas à bénéficier des soins adéquats, aucun hôpital civil ne l'acceptant. Il semblerait qu'un HIA ait toutefois accepté de le prendre en charge. Pouvez-vous nous le confirmer ? Si tel est le cas, ne craignez-vous pas que la Cour des comptes vous le reproche ?