Luc Legras, chargé de mission auprès du délégué général de l'Union sociale pour l'habitat :
En effet, la CGLS, quand elle fonctionne, n'assume pas 100 % du risque, mais seulement un quart ou un tiers de celui-ci. Les actionnaires ou les collectivités sont aussi mises à contribution en cas de défaut de paiement.