Je suis taraudée par le cas de ces femmes âgées de cinquante à quatre-vingts ans qui n'ont pas une carrière complète, parce qu'elles se sont arrêtées de travailler pour élever leurs enfants, et se retrouvent frappées par la dépendance. Lorsqu'elles sont hébergées dans un établissement spécialisé, le coût du reste à charge est considérable – et cela ne va pas aller en s'arrangeant. Certes, les jeunes femmes sont mieux informées et s'arrêtent de moins en moins – ou de moins en moins longtemps – pour élever leurs enfants, mais toute une génération va dans le mur.
Par ailleurs, comment intéresser les hommes aux problèmes – et aux métiers – de la dépendance ?