Je tiens à vous signaler que nous discutons de faits qui se sont passés il y a soixante-dix ans. Il semble très difficile pour le Gouvernement, dans le contexte budgétaire contraint que nous connaissons actuellement, de réparer ce qui n'a pas été fait dans le passé. Bien entendu, je partage votre émotion, j'éprouve de l'empathie envers ces orphelins. Mais le coût de toutes ces généreuses propositions s'élèverait à 100 millions d'euros environ alors que le budget du programme 158 n'est que de 116 millions ! Cela n'est pas envisageable.