Je félicite nos rapporteurs de leur travail, même s'il me semble que la situation n'est pas aussi sombre que leur emploi très fréquent des mots « échec » et « difficultés » tendrait à le montrer.
L'insuccès de la mission confiée à M. Bruno Frappat et qui devait réunir l'ensemble de la presse conduit Michel Françaix à suggérer le respect d'un code de déontologie comme condition au bénéfice des aides de l'État : quelle pourrait en être la forme, alors que le développement d'internet tend à rendre le respect de telles dispositions assez compliqué ?