S'agissant des alcools, nous empruntons le chemin, déblayé par la gauche comme par la droite, de la fiscalité comportementale. Nous pensons qu'une fiscalité plus élevée sur des produits plus dangereux est dissuasive pour la consommation. Nous en avons fait l'expérience pour le tabac mais aussi pour les premix, et si l'économie des premix a été tuée, c'est parce que le Parlement les a taxés.