Il faut faire la différence entre des producteurs d'alcool, qui ont des budgets publicitaires considérables, qui agissent à l'échelle internationale – et que l'on traite comme des producteurs de vin –, et les viticulteurs, qui n'ont pas du tout les mêmes budgets, qui jouent sur des marchés extrêmement étroits et qui savent que leur condition de survie, c'est de viser la qualité et non la quantité. Un vignoble qui ne mise pas sur la qualité du produit est condamné à disparaître. Il ne s'agit donc ni des mêmes économies, ni des mêmes comportements sur les marchés.
Par rapport à la publicité sur internet, je souhaite que l'on fasse une distinction très nette entre les alcools d'une part et les vins d'autre part. Je regrette que cette distinction n'ait pas été faite plus tôt.