Par ceux qui, à gauche comme à droite, avaient des intérêts à défendre dans leurs territoires. Ne rouvrons pas le débat aujourd'hui, mais il est urgent, comme l'a dit Philippe Vitel, d'avoir un débat au fond. Cela ne peut se limiter à des questions de taxation. Une analyse profonde des comportements des jeunes, notamment, doit être conduite. Nous avions, en 2004, interdit les Premix, les alcopops.