Le problème s'est posé pour l'obésité, maintenant avec l'alcool, et peut-être tout à l'heure avec le tabac. Il ne faut pas mélanger l'argent de Bercy avec celui de l'avenue de Ségur, destiné à la santé.
Vos pseudo-arguments de santé publique n'en sont pas, sinon vous auriez taxé le rosé, la bière…