J'ai défendu et salué la création des ARS qui mettent fin à une coupure absurde entre la prévention et le soin, entre la médecine de ville et l'hôpital, et entre le sanitaire et le médico-social.
À l'époque de leur création, le Nouveau Centre estimait toutefois que cette réforme restait malheureusement jacobine et centralisatrice. Sans être suivi, j'avais ainsi fait deux remarques. D'une part, constatant le manque de démocratie sanitaire, j'avais souhaité renforcer le rôle des conférences régionales de santé. D'autre part, je soutenais la création des ORDAM pour aller jusqu'au bout de la réforme. J'espère que ce nouveau pas sera franchi prochainement.