Pour terminer, monsieur le ministre de la santé, je voudrais vous interpeller : considérez-vous comme normal que la politique de lutte contre les ravages du tabac soit désormais de la compétence de Bercy, qui l'a transformée de fait, ces dernières années, en politique d'entretien de l'addiction ? La mission que vous m'avez confiée, et dont j'ai réuni les membres hier, trouve qu'il y a là un vrai problème à résoudre. (Applaudissements sur les bancs des groupes UMP et NC.)