J'entends bien les réticences de certains, Yves Bur et le président Méhaignerie notamment. La commission des affaires sociales a fait un travail que je tiens à saluer pour trouver d'autres sources d'économies, mais qui, de mon point de vue, ne sont pas de nature à garantir un ONDAM à 2,8 %. Je ne veux pas engager le débat dès maintenant, mais je suis prêt à le faire plus tard. Nous en discuterons, mais, je le répète, il est toujours plus facile d'augmenter les prélèvements que de réduire les dépenses. Or nous devons aussi réduire les dépenses.