En tout état de cause, nous ne laisserons pas tomber les associations, qu'il s'agisse des banques alimentaires, des Restos du Coeur ou du Secours catholique. Le Premier ministre l'a déjà indiqué : nous maintiendrons les crédits nécessaires.
Que feront l'Espagne, la Grèce, le Portugal, tous les pays qui n'auront pas de quoi payer pour leurs associations, pas de quoi financer l'aide aux plus démunis ? Nous refusons une Europe des égoïsmes nationaux et continuerons à défendre une Europe de la solidarité. (Applaudissements sur les bancs des groupes UMP et NC.)