Il y a simplement une inquiétude, une crise de confiance sur la capacité de l'Union européenne à résoudre ces problèmes.
Il est donc inutile d'opposer une politique de soutien à la croissance et la solution des problèmes que rencontrent l'Union européenne et la zone euro. C'est la raison pour laquelle, pour le Gouvernement, pour le Président de la République, la priorité absolue est de réussir le rendez-vous de mercredi.
Nous avons, dimanche dernier, obtenu plusieurs accords.