On dit généralement que les soldats en opération sont surentraînés mais pas assez instruits. C'est précisément ce décalage que nous nous efforçons de combler à leur retour.
Il s'agira d'un effort important dans le cas du retour d'Afghanistan. Or comme les crédits qui y sont dédiés n'augmentent pas, nous allons devoir nous organiser. J'ai évoqué tout à l'heure l'école d'état-major de Compiègne : tous les ans, nous sommes obligés de supprimer des jours de stage pour raisons budgétaires.