Certains militaires de l'armée de terre participent au plan Vigipirate mais ces hommes ne se sont pas engagés pour faire le travail des gendarmes ou des policiers. Quel est l'impact sur le moral des troupes de leur participation ?
Par ailleurs, avez-vous développé une réflexion sur l'emploi de l'arme blindée cavalerie dans les futurs conflits en zone urbaine, qui pourraient potentiellement avoir lieu sur le territoire national ?