Mon ambition est au contraire d'unifier les forces de l'État et de l'assurance maladie, et de moderniser le service public de la santé. La santé est au coeur des préoccupations de nos concitoyens : nous devons leur offrir un service public de la santé moderne et performant. Voilà l'enjeu des ARS.
Ainsi, au regard de sa légitimité et des garanties apportées par le préfet de région, j'envisage avec prudence les alternatives possibles pour la présidence du conseil de surveillance.