Je reviens sur la question de l'aide aux associations en faveur des plus démunis. Bruno Le Maire avait déjà fait part de ses espoirs qu'une solution serait trouvée rapidement lors d'une séance de questions au gouvernement. Quelques pays seulement y sont opposés, dont l'Allemagne, qui a saisi la Cour européenne. Il y a aujourd'hui urgence. Les associations – la Croix rouge, Les Restos du coeur, le Secours populaire, le Secours catholique ou d'autres – sont aujourd'hui dans une situation dramatique : elles ont des bénévoles mais plus de moyens, alors que la fréquentation des centres augmente.
Pour revenir sur ce qu'a dit Jacques Remiller, ce n'est pas une question nouvelle et l'amendement est rejeté tous les ans. Cela étant, je comprends la question, car il n'y a pas d'évolution dans le processus et l'on continue de verser des sommes importantes. La question est de savoir si l'on doit aider ou non la Turquie, indépendamment de la question arménienne à laquelle un certain nombre d'entre nous sont sensibles.