Il est légitime de fixer une échéance plus lointaine que celle qui avait été fixée en 2008 et qui était de quatre ou six ans. Pourquoi fixer une date, demandait tout à l'heure M. Emmanuelli : pour ne pas créer d'incertitude ! De même, je crains que la dégressivité proposée par M. de Courson ne complique les conditions du refinancement.