Les personnes qui travaillent au SESSAD me disaient récemment qu'elles continuent à accompagner les quinze jeunes qu'elles avaient en charge alors que leurs places ne sont plus financées. Ce n'est pas une situation normale eu égard à l'angoisse des parents et à leurs difficultés psychologiques : ils savent que l'accompagnement en SESSAD est complètement indispensable pour assurer la scolarité de leurs enfants, mais ils doivent attendre deux à trois ans pour trouver une place.
Je souhaite donc vraiment que la situation soit normalisée et que ces places, certes non pérennes mais qui avait été accordées par l'ARS, soient reconduites dans le futur. Il y a urgence.