Monsieur Rogemont, au cours de ce débat animé, chacun défend ses positions. Nous nous sommes déjà longuement exprimés et nous allons continuer. Mais il y a deux points sur lesquels je ne peux pas être d'accord avec vous.
D'une part, je n'accepte pas que vous considériez un texte qui réaffirme la liberté des collectivités et la responsabilité des maires comme une capitis deminutio de la loi. C'est une contre-vérité.
D'autre part, il n'est pas convenable de convoquer dans nos débats la vie privée du Président de la République. (« En effet ! » sur les bancs du groupe UMP.)