Vous avez été un peu rapide sur l'Iran, qui a pourtant un rôle essentiel dans la région.
Lors de la conférence des ambassadeurs, le Président de la République n'avait pas exclu des frappes aériennes sur les installations nucléaires de l'Iran. Les autorités iraniennes avaient d'ailleurs répondu vertement à ces propos.
Y a-t-il un élément nouveau, ou ce discours est-il une façon d'accroître la pression sur l'Iran ?