Je vous remercie, madame la présidente, de me permettre d'expliquer à nos collègues, que je sens gênés, à quel point ils ont mis en péril le pouvoir d'achat de nos concitoyens.
Partons de votre constat, monsieur le secrétaire d'État : « C'est à cause des dépenses contraintes que les Français ont l'impression que le pouvoir d'achat baisse, alors qu'il augmente ». Cette formule me rappelle un slogan de bonimenteur : « Ici, c'est moins cher que gratuit ! » Personne n'y croit, mais on le proclame tout de même. C'est une parole de magicien, ou de prestidigitateur.