Je ne voudrais pas que l'on me reproche d'être passé un peu vite sur les rapports entre l'Institut des données de santé et le nouveau GIP. L'IDS est avant tout chargé du contrôle de la qualité des données. Or, nous souhaitons, par le biais du GIP, développer une nouvelle compétence en pharmacoépidémiologie publique. Il convient absolument d'y agréger la Haute autorité de santé. Il ne s'agit donc pas de créer un GIP pour le seul plaisir de le créer, mais pour répondre à une nouvelle mission.