Nous, nous trouvons que ce n'est pas raisonnable. (Sourires.)
Quel est le fond du problème ? Il y a, on le voit bien, des médecins qui acceptent ou refusent les mêmes avantages, suivant leur éthique personnelle. Et selon ce qu'ils veulent bien entendre dans ces colloques, forums, déjeuners, petits-déjeuners, week-ends, etc., on peut constater la pénétration plus ou moins rapide des innovations thérapeutiques. (Rires.)
Ne riez pas, madame Lebranchu ! Je vais désormais essayer de m'exprimer en faisant très attention à chaque mot que j'utilise. (Sourires.) Disons que, selon leur qualité d'écoute, on mesure leur perméabilité à ces innovations...
A l'article 2, en tout cas, puisque le moment est venu de faire le ménage et d'améliorer la transparence, il faudrait peut-être, s'agissant de ces avantages, préciser certains mots et en éliminer d'autres.