Cet amendement est cohérent avec ce que j'ai développé tout à l'heure. Nous avons en effet la conviction que la correction en ligne ne fonctionnera pas. Le secrétaire d'État argue certes – sans le dire explicitement de cette manière –qu'il va s'écouler du temps avant que ne soient agréés des modes de mesure visuelle en ligne. Cela nous protège sans doute des dérives, mais nous affirmons néanmoins haut et fort que, dès l'instant où il y a vente de verres correcteurs, la mesure de l'acuité visuelle doit obligatoirement être réalisée physiquement sur le patient.