Le ministre a une vision peut-être plus politique et globale. Notre amendement, c'est, au mot près, l'article 2 de la proposition de Christian Estrosi. Il est donc possible de parvenir à un large accord. La non-communication de ces informations est absolument insupportable et, de ce point de vue, M. Estrosi a raison. Quand le rapporteur nous répond : « Circulez, il n'y a rien à voir », le ministre corrige : « Soyons prudents, l'un de mes camarades a déposé un amendement semblable, il n'est peut-être pas à traiter avec tant de mépris, nous en reparlerons plus tard. » En ce qui nous concerne, nous maintenons l'amendement.