La présente proposition de loi apparaît particulièrement sympathique dans le contexte actuel marqué par les débats sur la sécurité sanitaire du médicament.
Je relève d'abord que l'ANSES n'a pas mis en évidence d'effet du bisphénol A sur l'homme. Elle doit remettre un nouveau rapport fin novembre.
J'entends aussi nos collègues de l'opposition nous expliquer que si nous ne votons pas ce texte, nous irons à l'encontre de la sécurité sanitaire et du principe de précaution. J'aurais aimé les voir adopter la même attitude à l'égard du projet de loi sur le médicament présenté aujourd'hui en séance publique.