Non, ils s'inquiétaient plus généralement des risques pour les paysages, pour l'environnement et pour la santé des populations.
La mobilisation va se poursuivre, d'autant que les projets d'exploration, loin de se limiter au sud-est de la France, concernent aussi, par exemple, la Seine-et-Marne.
Cette proposition de loi est peut-être un peu abrupte, mais elle vient à point nommé pour lever les ambiguïtés de la loi du 13 juillet 2011, qui n'a pas en rien dissuadé les industriels.