Ce mécanisme a été étudié par les équipes de l'EPIDe, qui ont une expérience et une maturité remarquables. D'ailleurs, certaines entreprises - j'en connais une par exemple dans l'Est parisien - qui ne voulaient pas entendre parler de ces jeunes sont à présent heureuses de les accueillir, avant même ceux sortant d'un centre de formation d'apprentis (CFA). Les remises à niveau psychologique sont exceptionnelles et il faut les encourager autant que possible, même s'il est vrai qu'on est encore loin de l'objectif des 20 000, faute de moyens.